Chaine Youtube Facebook FR UK

Chroniques d'avant tournoi

Abonnement à la newsletter

5 questions à Alex Gough Publié le dimanche 3 septembre 2017


Nous avons posé 5 questions à Alex Gough (WAL) - Directeur général de la Professional Squash Association (PSA) :


1. Vous avez atteint le top 5 mondial il y a 20 ans, qu'est-ce qui a réellement changé depuis sur le circuit international ?

Il me semble que c’était il y a très, très longtemps ! Le sport était très différent à l'époque.

Les trois ou quatre premières années en tant que directeur ont été incroyablement difficiles, nous n’étions qu'une petite équipe de moins de cinq personnes. L'un des plus grands changements est que nous avons grandi de façon significative en tant qu'organisation et nous sommes maintenant impliqués dans tout, depuis la planification, la mise en place de nouveaux événements, jusqu'à l'inscription des adhérents et les négociations TV.
SQUASHTV a été lancé en 2010 et a été l'un des plus grands changements. La technologie des courts, des raquettes, des caméras… a rendu le sport beaucoup plus facile à regarder à la télévision et plus intense pour les spectateurs sur les sites. Nous sommes maintenant en mesure de livrer 500 matchs par an, ce qui signifie que nous pouvons toucher beaucoup plus de personnes avec beaucoup de contenu intéressant. Cela devrait contribuer à faire avancer le squash.

Nous avons maintenant un calendrier de tournois beaucoup plus structuré. De mon temps, nous ne savions jamais vraiment les événements qui arrivaient au cours de la saison. Il était vraiment difficile de planifier toute une saison en tant que joueur. Nous ne pouvions pas donner aux partenaires une liste des événements de la saison car nous ne les connaissions pas ! De nos jours, le calendrier est organisé au moins d’une saison à l’autre, et cela aide dans beaucoup de domaines.

Le jeu a aussi beaucoup changé. Les joueurs sont physiquement plus solides et de plus en plus rapides. La préparation  « scientifique » des sportifs de haut niveau, l’encadrement, la professionnalisation des joueurs sont totalement différents qu’il y a 20 ans.
La nature du jeu a également changé. L'afflux d’attaquants égyptiens a modifié le jeu et l'a rendu plus dynamique. Les matchs étaient en général plus dans une stratégie d’épuisement précédemment.

Et nous continuons d'essayer de développer le sport tous les jours: nous avons plus de 800 membres et plus de 200 événements par an - il y a toujours quelque chose à faire et ce n'est jamais ennuyeux !



2. La PSA est en charge de l’organisation du circuit international de squash, vous vous intéressez de près à l’Open international de squash de Nantes depuis 2 ans, vous serez à Nantes cette année, que représente pour vous cet événement ?

Nantes est un nouvel événement original et passionnant pour le circuit international PSA. Il a attiré beaucoup l'attention au cours des deux dernières années. Nous sommes très heureux de voir comment il va continuer son développement et ce que l'avenir peut réserver.


3. Vous parcourez le monde au travers des plus grands tournois au monde, qu’est-ce qui distingue Nantes, voyez-vous cet événement comme un étendard du circuit ?

Le développement des secteurs de production - la mise en scène, l'éclairage, l'approche alternative du marketing et l'enthousiasme de l'équipe organisatrice - étaient singuliers et se sont vraiment distingués sur l'événement l'année dernière.

L'équipe derrière l'événement a une approche très différente des autres tournois. Elle est vraiment axée sur une identité propre, en essayant à chaque fois de nouvelles idées et en mettant l'accent sur l'expérience du spectateur au-delà du squash proprement dit.

 

4. Le 13 septembre, la ville olympique sera choisie. La France étant la 3ème nation au monde depuis 10 ans, après Nantes, le Championnat du Monde de Squash par équipe sera organisé à la fin du mois de novembre à Marseille, qu’est-ce qui manque au squash pour intégrer les Jeux olympiques, surtout si Paris était élu pour 2024 ?

Nous avons vraiment essayé pendant la dernière décennie que le squash devienne un sport olympique et, à plusieurs reprises, nous avons été très proches de l'intégration olympique. Malgré cela, le sport a continué de croître et à se développer et je pense qu'il faut continuer nos efforts indépendamment d’une éventuelle décision olympique.

Bien sûr, si Paris organise les Jeux 2024, alors nous aurons une opportunité en or. Parce que le CIO a introduit la possibilité pour les pays hôtes de choisir les sports qu'ils veulent avoir dans les jeux - comme le karaté à Tokyo 2020 -. Nous pouvons avoir une excellente opportunité. La France a de belles cartes à jouer avec le squash, certains des meilleurs joueurs du monde à l'heure actuelle et bien sûr également, Jacques Fontaine, qui est président de la World Squash Fédération.

Malgré tout cela, l’histoire nous a appris à ne pas trop s’exciter. Attendons de voir ce qui se passera en septembre.

 

5. Un PSA World Series à Nantes, comme un Open de France, en quelque sorte, dans un avenir proche, est-ce pour vous une éventualité, vous soutiendriez ce projet ?

Avoir un événement des World Series en France - en Europe continentale - serait un grand coup de pouce pour le sport. Avec des joueurs français comme Greg Gaultier, Mathieu Castagnet, Camille Serme qui sont au plus haut niveau, et d'autres joueurs comme Simon Rösner et Borja Golán au sommet de leurs jeux pour l'Allemagne et l'Espagne, ce serait donner à ces joueurs une vitrine qu’ils méritent. Il y a aussi un grand public de squash en Europe qui n'a actuellement pas la chance d'assister facilement à un événement de très haut niveau.



+

Tableaux des qualifications Publié le dimanche 3 septembre 2017

Les tableaux des qualifications sont maintenant disponibles :





+

5 questions à Millie Tomlinson Publié le samedi 2 septembre 2017


Nous avons posé 5 questions à Millie Tomlinson (ENG) - Tête de série N°1 et N°23 mondiale :


1. Millie, c'est la première fois que tu viens à Nantes. Les tournois PSA en France sont assez peu nombreux. Tu as déjà participé ou même remporté une compétition en France ?

Oui, c'est ma première fois à Nantes. J'ai beaucoup joué en France et j'ai toujours apprécié l'expérience. Je n'y ai encore jamais gagné de tournoi !

2. Tu es anglaise et je crois que tu as étudié à l'étranger. Tu as continué le squash pendant cette periode ? Tu peux nous en dire un peu plus ?

J'ai étudié à l'université de Yale aux États-Unis, où je me sus beaucoup entraînée et j'y ai étudiée la science politique.


3. Ta partie de tableau est composée de nombreux jeunes talents : Toute l'équipe égyptienne, récemment championne du monde junior, sans oublier la jeune WildCard française, au 1er tour : Juile Rossignol. Tout ces jeunes talents ne risquent-ils pas de corser ton parcours ?

C'est un tableau très relevé, donc chaque tour sera difficile. Ça devrait être un grand événement pour les spectateurs.

 

4. Si tu remportes ton premier tour, le reste de tes matchs se dérouleront sur le court vitré. La compétition féminine n'est qu'un modeste 15 000 $, jouer sur un court vitré est plutôt rare. Comment appréhendes-tu ces matchs ? Y a-t-il pour toi une grande différence avec les courts "classiques" ?

Les courts vitrés ont tendance à être un peu plus rapides, il est plus difficile de voir et de volleyer la balle, et ils récompensent de bons shots parce qu'ils meurent plus facilement dans les coins. Il est toujours amusant de jouer sur un court vitré, et j'espère que l'ambiance sera géniale.

 

5. Le début de la compétition est proche. A quelques heures d'un match important, quelles sont pour toi les bonnes habitudes à avoir pour bien aborder la rencontre ?

Je fais mon échauffement habituel, je parle un peu avec mes amis, puis 10 minutes avant le début match, j'aime bien avoir du temps seule pour me concentrer au maximum.





+

5 questions à Jean-Denis Barbet Publié le samedi 2 septembre 2017


Nous avons posé 4 questions à Jean-Denis Barbet - Président de la Fédération Française de Squash :


1. Pour la troisième année, la Fédération Française de Squash est partenaire de l’Open International de Squash de Nantes. Quelles ont été les motivations qui vous ont conduit à poursuivre votre engagement ?

Ce soutien est intervenu dès la première année dans cadre de la politique sportive de laFFSquash, afin de promouvoir l’organisation d’Open Internationaux sur le territoire français. Accompagner non seulement les organisateurs de ces événements dans un cadre fédéralmais surtout permettre à nos jeunes squasheurs de se confronter aux meilleurs joueurs étrangers et de rentrer dans le classement international ; voilà les objectifs. Ils sontlargement atteints pour l’Open International de Squash de Nantes.

2. Que représente pour la Fédération notre événement ?

L’Open International de Squash de Nantes a cette spécificité de s’inclure dans une manifestation à la fois culturelle, sportive etpopulaire qui permet au squash de sortir de son environnement spécifique. Il s’ouvre ainsi àun nouveau public non seulement nantais et plus largement national. Il chante la démocratisation que notre sport mérite.


3. La France organise le championnat du monde par équipe homme à Marseille finnovembre. Qu’attendez-vous de cet événement majeur ? L'équipe de France masculine adominée l'équipe d'Angleterre aux championnats d'Europe cette année. Que peut-on espérer comme résultat pour l’équipe de France ?

La France, aujourd’hui 3 e voire 2 e nation dans les résultats sportifs du Squash international, a

un réel savoir-faire reconnu dans l’organisation des événements sportifs. Après les

championnats du monde par équipe féminins à Nîmes en 2012, les championnats du monde

par équipe masculins à Mulhouse en 2013, les championnats d’Europe par équipe à

Valenciennes en 2014, la WSF a confié à nouveau à la FFSquash l’organisation de ces mêmes

championnats du monde en décembre 2016 à Issy-les- Moulineaux pour les femmes et à

Marseille en décembre de cette année 2017 pour les hommes.

Aux derniers championnats d’Europe à Helsinki, l’équipe féminine termine 2 ème et l’équipe

masculine prend la première place en battant l’Angleterre. Cette dernière victoire doit nous

permettre sans aucun doute de finir sur le podium de ces championnats du monde masculin

et même de tout mettre en œuvre pour accéder à la plus haute marche. On sera tous

derrière elle !

 

4. Le 13 septembre, la ville olympique sera choisie. La France étant la 3ème nation mondiale

depuis 10 ans, après Nantes, le championnat du monde de squash par équipe à Marseille,

que manque-t- il au squash pour intégrer les JO surtout si Paris était l’élue de 2024 ?

Le 13 septembre à Lima, les 2 villes candidates seront fixées sur les dates d’attribution et

donc laquelle des 2 sera élue ville olympique en 2024, l’autre en 2028. Dans tous les cas, le

squash se présentera comme discipline olympique et porté par un président de fédération

internationale ancien président de la fédération française de Squash, et en tant que

président je ferai en sorte de tout mettre en œuvre pour montrer les qualités sportive et

spectaculaire de notre sport.

Pour la troisième année, la Fédération Française de Squash est partenaire de l’OpenInternational de Squash de Nantes. Quelles ont été les motivations qui vous ont conduit àpoursuivre votre engagement ?
+

5 questions à Mathieu Castagnet Publié le vendredi 1 septembre 2017


Nous avons posé 5 questions à Mathieu Castagnet (FRA) - Actuel N°24 mondial, ancien N°6 mondial (Mai 2016) :


1. Mathieu, c'est la toute première fois que tu viens participer à l'Open International de Squash de Nantes, qu'est-ce qui t'as décidé à venir pour cette 3è édition ?

C’est un tournoi PSA très bien organisé et qui fait sensation à la PSA World Tour. Nous avons eu des retours positifs sur l’organisation, le lieu, le court vitré ainsi que la disponibilité et gentillesse des organisateurs et bénévoles. C’est une chose qui m’a beaucoup manqué dans ma carrière d’avoir cette occasion de participer à un évènement PSA annuel sur notre territoire. En effet, de nombreux tournois sont organisés mais bien évidemment trop petits pour mon classement PSA. C’est une chose fabuleuse pour les générations futures d’avoir cette chance de participer à des évènements PSA en France. Cela donne des ailes et l’envie de se surpasser. 
La Fédération Française de Squash fait un énorme travail pour nous donner la possibilité de jouer en France au travers des formats  « Europe » et « Monde » mais il m’a toujours manqué ce format PSA. J’ai bien évidemment envie de profiter de l’occasion et de me joindre à cette organisation. Merci pour votre travail !!

 

2. La fin d'année 2016 a été très compliquée pour toi à cause notamment d'une blessure aux adducteurs. Tu as difficilement repris la compétition en début d'année 2016, comment te sens-tu aujourd'hui ? Seras-tu à ton meilleur niveau en arrivant en Septembre à Nantes ?

Je viens de me débarrasser de mon dernier souci : l’appendicite. En effet, entre les différentes crises, la pubalgie et les deux déchirures subites cette année, je n’ai pas eu un moment tranquille pour m’exprimer. 
Aujourd’hui, je me sens très bien et prêt à repartir au travail en vue de la prochaine saison. J’ai un horizon de 11 semaines devant moi et je compte bien faire les choses qualitativement et monter en puissance. Il y a tellement de paramètres dans la performance que je suis dans l’incapacité de vous annoncer 3 mois avant quel sera mon état de forme le jour J (ndlr : interview réalisé à la fin du mois de juin 2017). Dans tous les cas, je serai entraîné et prêt.


3. Tu es malheureusement descendu au delà du top 20 mondial cette saison, tu feras certainement parti des outsiders à Nantes, quel sera ton objectif ?

L’objectif sera de remporter cet évènement.

 

4. Tu es connu sur le circuit international pour ton énorme physique et tes matchs à rallonge. Tu dois être un véritable besogneux pour maintenir ce niveau et cette intensité, tu as bien un secret ? Tu dois beaucoup t'entraîner pour cela, tu peux nous en dire un petit peu plus ?

Je ne pense pas qu’il y ait un secret. C’est dans ma nature, je suis quelqu’un de combattif, qui travaille dur et qui aime ce sport et ce qu’il implique. J’entends trop souvent des personnes dire : ce garçon X est doué et si il s’était entraîné, il aurait pu être top 20 ? Top 10 ?? Et si… et si blablabla…. Cela n’existe pas, la priorité est donnée à ceux qui travaille et qui se donne les moyens de réussir. Vous devez être focalisé sur votre travail, sur votre performance, et au quotidien prendre en compte chaque détail. L’objectif n’est pas de faire deux coups extraordinaires pour le public mais de remporter successivement 3 jeux sur chaque adversaire et cela est très différent.

 

5. Au delà de ton passage à Nantes, quels seront tes futurs objectifs ? Espères-tu revenir aussi haut dans la hiérarchie mondiale que tu ne l'as été en 2016 (ndlr : dans le top 10 mondial) ?

Il y aura mes deux objectifs principaux : les championnats du monde individuel et par équipe au mois de novembre et décembre. À cela, je rajoute les World Séries (US Open, Qatar, Hong Kong, ToC, Chicago, El Gouna et le British Open). Je ne préfère pas m'avancer trop tôt, je vais bien m’entraîner et voir mon niveau de jeu. Mais bien évidemment mon objectif sera de rebondir et de remonter au classement PSA.





+

5 questions à Fiona Moverley Publié le jeudi 31 août 2017


Nous avons posé 5 questions à Fiona Moverley (ENG) - Tête de série N°2 et N°28 mondiale :


1. Fiona, c'est un plaisir de te voir inscrite à l'Open International de squash de Nantes. Tu voyages beaucoup à travers le monde sur le circuit professionnel. As-tu déjà participé à une compétition professionnelle en France dans ta carrière ?

Oui, j'ai déjà participé à quelques tournois en France et j'ai même gagné un titre PSA - l'Open International des Volcans 2015 (à Clermont-Ferrand).

2. Tu as interrompue ta carrière pendant près de 5 ans, tu es de retour sur le circuit depuis 2014. Qu'as tu fait pendant ce temps là ?

Pendant ma période en dehors du circuit professionnel, j'ai travaillé à plein temps dans le sport. J'étais responsable de tous les programmes sportifs des écoles primaires et secondaires et nous avons participé à toutes les compétitions locales et régionales. Nous avons eu un calendrier de tournois très dense permettant, aux enfants de tous âges, l'accès à plus de 20 sports.


3. Où se situe ton club d'entraînement ? Et qui sont tes entraineurs et tes principaux "sparing partners" ?

Je joue dans 3 clubs dans ma ville de Hull. Hull & East Riding Squash Club où je joue pour l'équipe de Yorkshire. Ferriby Hall Squash Club où je fais beaucoup d'entraînements sur le court. Et aussi l'Université de Hull où je m'entraine sur le court et je fais aussi du renforcement musculaire et du conditionnement grâce au soutien de l'équipe universitaire scientifique du sport. Mon entraîneur est Andy Cockerill et je m'entraîne beaucoup de mon côté, mais nous avons aussi beaucoup de jeunes joueurs dans la région qui sont formidables pour s'entraîner.

 

4. Tu as récemment fait un beau résultat aux Jeux Mondiaux à Wroclaw en atteignant les demi-finales (en échouant sur la numéro 3 mondiale : Camille Serme). Mais tu as surtout gagné la tête de série N°1 de la compétition à venir à Nantes : Millie Tomlinson. Raconte-nous un petit peu cette performance... Est-ce que cela te met en confiance pour remporter le tournoi ?

J'ai passé une excellente semaine aux Jeux Mondiaux et j'ai apprécié jouer dans un tournoi de préparation pour la prochaine saison. J'ai joué Millie quelques fois sur le circuit et elle m'avait toujours battu alors ce fut vraiment important pour moi cette première victoire. Cela me donne de la confiance pour le tournoi à Nantes, mais je me concentrerai sur un seul match à la fois parce que le tableau est très relevé et je ne prendrai rien pour acquis.

 

5. Tu as obtenu ta première sélection en équipe d'Angleterre cette année, votre équipe a même décroché le titre de championnes d'Europe par équipe (face aux françaises en finale). Quels sont tes futurs objectifs après cette belle performance ?

Ce fut un privilège de représenter mon pays, de porter le maillot de l'équipe d'Angleterre et de faire partie de l'équipe championne d'Europe. J'aimerais continuer cet aboutissement et représenter de nouveau l'Angleterre dans les tournois internationaux, y compris les jeux du Commonwealth l'année prochaine.





+

5 questions aux Razy et Nabil Publié le jeudi 31 août 2017


Nous avons posé 5 questions à Razy Essid & Nabil El Khayer - Danseurs :


1. Razy, est-ce la 1ère fois que vous participez à un événement sportif, en dehors de la danse bien entendu ?
Non, ce n'est pas la 1ère fois que je participe à un événement sportif. Pour la dernière Coupe d'Europe de Football en France, j'ai effectué des shows pour l'accueil et l'inauguration de l'entraînement de l'équipe Belge, qui résidait à Bordeaux. Nous avions également réalisé un échange avec les joueurs Foot / Danse devant un public de 5 000 personnes !

2. Nabil, vous avez dansé dans le teaser 2017 de l'Open Squash, comment avez-vous adapté votre breakdance à ce duel entre squash, musique et danse.
Oui et j'ai beaucoup apprécié participer à ce teaser mais je n’ai rien adapté à ma façon de danser. Notre danse est née de duel et de confrontation, donc que ce soit avec telle ou telle discipline, on a aucunement besoin d’adapter celle-ci. La musique est également totalement en adéquation avec l’énergie véhiculée par notre danse.

3. Razy, avez-vous l'habitude de danser avec Nabil, quels projets avez-vous déjà réalisé ensemble ? Comment la collaboration entre vous deux est-elle née sur l'Open Squash ?
Oui, nous avons l'habitude de travailler ensemble sur des projets de création, de shows mais aussi de Battle (compétitions) et au-delà, une amitié, une fraternité s'est créée ! La collaboration pour l'Open de Squash s'est faite par le biais de DJ ONE UP, à qui la proposition a été faite. Il a pensé à nous pour des raisons de connivence et de complicité artistiques.


4. Nabil, vous êtes compétiteur international de breakdance, est-ce que cela vous plaît de faire partie d'une compétition sans avoir un adversaire à battre cette fois-ci ?
Cela fait du bien quelque fois d’être spectateur plutôt qu’acteur, cela va être inspirant d’observer les joueurs, leur façon de faire face à la pression et au stress. Cela va peut-être inspirer de nouveaux mouvements et va sûrement enrichir notre façon d’aborder une compétition.

5. A tous les deux, comment avez-vous composé votre chorégraphie pour l'événement ? Quelles sont vos inspirations par rapport au côté hybride de cet événement, par rapport aux éléments scénographiques qui le composent ?
   Nabil :
Alors pour être vraiment honnête, aucune idée ! Nous entrons en création le 30 août avec l’ensemble de l’équipe. Je suis impatient de cette nouvelle expérience. Notre danse est hybride donc le lieu et l'événement se marieront très bien avec notre show, je n'en doute pas une seconde !
   Razy :
Pour le moment la chorégraphie n'est pas créée, seuls quelques mouvements et idées sont déjà prêts à être mis en œuvre pour ce projet ! L'objectif et de cibler le lieu, l'espace et la configuration exacte ! Le reste se fera naturellement.
+

5 questions à Mazen Hesham Publié le mercredi 30 août 2017


Nous avons posé 5 questions à Mazen Hesham (EGY) - Tête de série N°3 et ("assimilé") N°30 mondial :


1. Mazen, c'est la première fois que tu vas participer à l'Open International de squash de Nantes. Qu'est ce qui t'as décidé à venir pour cette 3è édition ?
Et bien, j'ai entendu beaucoup de bonnes choses sur le tournoi l'année dernière et je l'ai un peu regardé sur SquashTV. J'ai vu une foule pleine à craquer regarder les matchs et soutenir les joueurs, ce qui donne au tournoi une atmosphère spéciale... En plus je ne suis pas allé en France depuis l'âge de 12 ans. Je pense que, d'une part, c'est l'occasion de jouer un beau tournoi là-bas et d'autre part de pouvoir profiter de la France.

2. Tu as eu une année 2016 vraiment très difficile avec une blessure à la hanche notamment qui t'as empêché de continuer les tournois pendant un bon moment. Tu fais ton retour à Nantes, penses-tu retrouver ton meilleur niveau ?
Je lutte encore un peu après ma blessure, parfois, je sens que je suis en grande forme et, d'autres jours, j'ai l'impression que je suis encore loin de ma forme. Je pense que c'est une sorte d'épreuve mentale qui arrive à tous ceux qui reviennent d'une blessure majeure. Mais j'espère que je serai à mon meilleur niveau la saison prochaine et Nantes n'est que le début, alors je ferai de mon mieux pour avoir la meilleure forme pour ce tournoi.

3. Tu es tête de série N°3. Grégoire Marche et Mathieu Castagnet sont les 2 grands favoris de la compétition. Ils sont tout deux français, le public sera sans aucun doute derrière eux. Penses-tu avoir les moyens de faire la différence malgré l'influence du public ?
Pour être honnête, c'est la dernière chose à laquelle je pense lorsque je rentre dans un tournoi. Je ne sais vraiment pas à ce sujet, mais je pense toujours que je peux faire n'importe quoi ;-) Alors, nous verrons bien.

4. Rencontres-tu souvent ce type de situation sur le circuit ?
Non, je ne suis que très rarement confronté à ces situations dans les tournois.

5. Quels sont les objectifs professionnels que tu te fixes dans le squash ?
J'ai toujours rêvé de devenir le champion du monde et le numéro 1 mondial avant de me retirer du circuit. Je verrai jusqu'à quel point je peux aller...





+

5 questions à DJ One Up et Jean du Voyage Publié le mercredi 30 août 2017


Nous avons posé 5 questions à DJ One Up & à Jean du Voyage :


1. DJ One Up, comment avez-vous réagi lorsque le projet de l'Open Squash vous a été proposé ?
Je n'ai pas hésité ! J'ai tout de suite senti de l'ambition dans ce projet et les possibilités de création. J'adore les propositions qui éveillent ma curiosité. En voilà une nouvelle !! On a la possibilité avec l'équipe de créer une forme artistique nouvelle en relation avec le squash… Les mouvements, la stratégie et l'intensité du jeu nous inspirent beaucoup. Depuis notre premier échange, on regarde pas mal de vidéos ;) On est heureux et impatient de présenter notre travail avec Nabil, Razy, Jean et moi-même.

2. Jean, vous jouez dans les clubs du monde entier, comment allez-vous jouer face à un cube en verre, au centre d'une arène artistique & sportive ?
Et bien comme à chaque fois, avec la même envie de partager ma musique avec un public différent, c’est toujours agréable de jouer dans un nouveau contexte. Je suis curieux de voir ce que cela va donner !

3. DJ One Up et Jean, vous avez signé la bande son du teaser ensemble, quelles ont été vos inspirations ? De quelle manière l'avez-vous composé ?
   DJ One Up :

On a beaucoup échangé avec Jean dès le départ sur la vitesse du jeu qui a donné le rythme soutenu à la musique et puis on s'est dit que tant que le match n'était pas fini rien n'était joué... On a lié à ce rythme un certain suspens par des variations.
   Jean :
Je me suis inspiré du mouvement et du rythme des joueurs de squash, il y a une analogie avec la danse dans l’art du déplacement, l’intensité et la précision du geste. C’est ce qui m’a particulièrement inspiré. J’ai voulu également apporté une dimension internationale avec l’utilisation de sonorités et d'instruments provenant de différents continents.

4. Jean, comme votre nom de scène l'indique, les cultures du monde vous inspirent, est-ce qu’il en est de même avec le squash ?
En regardant les vidéos des rencontres internationales, j’ai été impressionné par le niveau des compétiteurs. C’est toujours inspirant de voir des sportifs repousser leurs limites, des sportifs qui arrivent à se transcender le jour J !

5. A tous les deux, comment abordez-vous votre collaboration avec l'Open Squash, quels tons allez-vous donner à vos sets pendant l'événement, en lien avec la danse, en lien avec le squash ?
   DJ One Up :
C'est toujours un plaisir de collaborer avec Jean et de partager un moment comme celui-ci. Merci à l’Open et Stéréolux de nous le permettre. On va passer quelques jours en résidence pour préparer cela. La création avec la danse sera une proposition originale pour l'événement avec 2 danseurs internationaux, de hauts niveaux eux aussi. La musique sera inspirée de celle du teaser, éclectique, rythmée et accompagnée de scratch.
   Jean :
Avec l’envie commune de mettre en valeur nos disciplines, une belle occasion de faire découvrir notre collaboration inédite à un nouveau public.

+

5 questions à Galerie Gaïa (Elisabeth Givre) Publié le lundi 28 août 2017


Nous avons posé 5 questions à Elisabeth Givre - Galeriste de la Galerie Gaïa :


1. Vous êtes monté sur le bateau lors de la 1ère puis la 2ème édition de l'Open Squash, qu'est-ce qui vous a plu dans le projet ?
Ce qui m'a plu c'est le décalage de l'événement. Je suis joueuse entre guillemets de squash, je connaissais ce sport, mais de par mon métier de galeriste, je trouvais passionnant de vivre l'Open Squash dans un lieu décalé et culturel différent à chaque édition. Le mélange culture & sport, cela m'intriguait.

2. En 2015 puis 2016 pendant le tournoi, vous avez monté une rétrospective autour de Michel Bouvet - affichiste de l'Open. En tant que passionnée d'art, que pensez-vous du mix de ces univers ?
Effectivement c'est le mélange des genres qui créé quelque chose d'unique. J'étais un peu sceptique au départ, mélanger les deux sujets, c'était en suspend, intriguant. J'attendais de voir, c'était un défi. Cela suscitait la surprise et j'avais envie de savoir comment Michel allait une nouvelle fois renouveler le défi !

3. Depuis la 2ème édition, vous avez proposé l'artiste GO SEGAWA afin de réaliser le trophée. Comment avez-vous travaillez avec lui sur cet objet d'art par rapport à l'événement ?
J'ai proposé à GO SEGAWA de travailler sur ce projet. Je trouvais intéressant de poursuivre ce défi culture & sport, de mélanger les genres. Je lui ai demandé de créé une œuvre originale, jusqu'au bout. Dans son travail, la forme prône, lorsque celle-ci a été mise en volume, elle est devenue la cage en verre dans laquelle les joueurs s'affrontent. Il a ensuite rajouter le point jaune pour la balle. Cette démarche lui paraissait évidente.

4. Que réservez-vous comme surprise artistique pour cette 3ème édition aux Nefs ?
Je fais plus de place à GO SEGAWA. Une sélection de ses œuvres va être exposée à la Galerie afin de découvrir son univers, voir autre chose que le trophée, aller plus loin et ainsi présenter son travail au public.

5. Avez-vous des idées/ projets concernant le futur partenariat de votre Galerie avec l'Open Squash ?
Le projet est suffisamment intéressant pour avoir envie d'y réfléchir…

+

5 questions à Nicolas Mueller Publié le lundi 28 août 2017


Nous avons posé 5 questions à Nicolas Mueller (SUI) - Tête de série N°4 et N°32 mondial :


1. Nicolas, tu avais malheureusement dû te désister quelques jours avant le début de la compétition l'année dernière. Cette fois, tout se profile bien, on devrait te voir fouler le court vitré sous les nefs cette année. Raconte-nous un peu, que s'était-il passé l'année dernière ?

J'ai eu une excellente préparation estivale l'année dernière, mais malheureusement, deux semaines avant l'événement, j'ai tiré sur un muscle de mon adducteur qui n'a pas guéri à temps pour pouvoir participer à certains tournois l'année dernière, dont celui de Nantes.

2. Ta préparation s'est-elle bien passée ces derniers mois ? Comment te sens-tu en l'approche de ce premier tournoi de la saison ?

C'était une longue préparation cette année, qui a essentiellement durée près de 2 mois et demi. J'ai fait beaucoup de choses nouvelles, comme du vélo et certaines choses plus techniques sur le terrain. Je me sens très en forme et j'espère que Nantes sera un bon début pour ma nouvelle saison.


3. Tu es un très grand joueur : 1m88 ! Tu es, presque, le plus grand de la compétition (derrière le géant anglais Declan James : 1m95). Tu l'exploites souvent dans ton jeu ? Tu penses que cela te donnes un réel avantage contre certains adversaires ?

Il y a des avantages et inconvénients. D'une part, vous avez une plus grande amplitude et vous avez parfois moins de pas à faire, mais d'autre part, vous devez supporter un poids supplémentaire et vous tourner peut être un peu plus difficile. En tout cas, je pense qu'être grand aide réellement.

 

4. Avec Grégoire Marche (double tenant du titre), vous avez joué tous les deux dans la même équipe à Valence en N1 en France pendant beaucoup d'années. Vous vous connaissez depuis quand ? Il vous est déjà arrivé de vous entraîner régulièrement ensemble ?

Je connais Greg depuis que nous avons 11 ans (!!). C'est à ce moment-là que nous nous sommes joués pour la première fois. Ne pensez surtout pas qu'il y ait eu que de bons souvenirs à propos de ce match :)
Nous sommes vraiment de bons amis, nous avons joué dans la même équipe pendant 10 ans et il y a eu même des fois où nous avons partagé quelques semaines de formation avec son ancien entraîneur (Cédric Hateau).

 

5. Tu finis ta saison sur 2 belles performances sur le circuit : le Grasshopper Cup (en Suisse) où tu atteins les quarts de finale en échouant de justesse (en 5 jeux) face à l'actuel numéro 3 mondial : Mohamed El Shorbagy, puis tu créé la surprise en sortant des qualifications du M100 du Bellevue Classic (aux USA) en gagnant César Salazar (Mexicain, dans le top 20). Cela doit certainement te mettre en confiance à l'approche de ce 1er tournoi de la saison. Décrocher le titre à Nantes doit certainement être un objectif plus qu'envisageable ?

Ouai, j'aurais souhaité que la saison continue encore un peu plus longtemps. Je jouais mon meilleur squash sur la fin. J'espère que je vais garder cet aspet positif de mon jeu pour cette nouvelle saison. Le tournoi à Nantes est assez ouvert, il y a beaucoup de joueurs qui sont capables de gagner. J'espère que j'aurai un rôle à jouer moi-aussi ...





+

5 questions à Nele Gilis Publié le dimanche 27 août 2017


Nous avons posé 5 questions à Nele Gilis (BEL) - Tête de série N°4 et N°35 mondiale :


1. Nele, c'est la première fois que tu viens à Nantes. Il y a, en même temps, une grosse tournée de tournois en Chine, pourquoi as-tu fait le choix de Nantes cette année ?

L'une des raisons pour lesquelles j'ai choisi de venir jouer à Nantes est que ce tournoi se joue sur un magnifique court vitré, j'ai pensé que c'était une excellente occasion et une chance pour moi d'avoir plus d'expérience dessus et surtout si près de chez moi !

2. Vous êtes 2 sœurs sur le circuit, Tinne et toi. A quelques années d'écart vous avez réalisé le même parcours en junior. Tinne va d'ailleurs participer aux qualifications de l'open de Nantes cette année. Quels sont vos liens dans la vie à toutes les deux ? Vous entraînez-vous ensemble ?

Ma sœur vit en Belgique et j'habite aux Pays-Bas donc nous n'arrivons pas à nous entraîner ensemble, mais nous sommes proches et lorsque nous jouons le même tournoi ensemble, nous voyageons ensemble, nous restons ensemble et nous nous entraînons ensemble sur place :) C'est sympa d'avoir sa soeur dans les tournois, quelqu'un qui vous encourage et peu importe ce qui arrive !


3. Tu rentres tête de série N°4, tu rencontres Hana Moataz une jeune égyptienne au premier tour. Quel va être ton objectif pour ce premier tournoi de la saison ?

Je suis vraiment excité de commencer la saison, mon but pour ce tournoi est juste de jouer le meilleur squash possible et j'espère surtout que ma prépa d'été m'a bien préparé :)

 

4. Quelle est la journée d'entraînement type de Nele Gilis ?

Une journée type pour moi ... Je m'entraîne 2 ou 3 fois par jour, 6 jours par semaine ! Et entre les deux, je fais à manger, je mange et je dors. Et avec un peu de chance et que le soleil est de sortie, j'aime passer du temps au soleil entre mes sessions, haha :)

 

5. Si je ne me trompe pas, tu partages ta vie avec Paul Coll (ndlr : néo-zélandais et N°13 mondial, en grande forme sur le circuit pro en ce moment). Paul arrive-t-il à te soutenir malgré vos contraintes professionnelles sur le circuit à tous les deux ? Par hasard, sera-t-il avec toi, à Nantes début Septembre ?

Paul ne sera malheureusement pas avec moi à Nantes parce qu'il joue un gros tournoi en Chine. Nous avons beaucoup voyagé ensemble sur les tournois, comme par exemple sur tous les événements World Series :) ça fonctionne parfaitement pour nous et c'est formidable d'avoir quelqu'un avec vous tout le temps !





+

5 questions à Chris Simpson Publié le samedi 26 août 2017


Nous avons posé 5 questions à Chris Simpson (ENG) - Tête de série N°5 et N°38 mondial :


1. Chris, c'est la 2è fois que tu viens participer à l'Open International de squash de Nantes. Tu étais présent l'année dernière, à la seconde édition lorsque le court vitré était placé à La Cité des Congrès. Quel souvenir gardes-tu de cette édition ?

Le tournoi l'année dernière a dépassé toutes mes attentes. C'était un tournoi à 25 000 $, mais avec un tel lieu et une telle foule, on aurait dit que c'était un PSA World Series. Je pense que le lieu était vraiment génial pour le squash, mais on m'a dit que cette année, l'emplacement sera encore mieux !

2. Tu reviens d'une blessure à la hanche qui t'as bloqué la saison dernière. Comment te sens-tu pour cette nouvelle saison qui arrive ?

Je suis excité de recommencer à jouer. J'ai eu 6 mois complètement privé des courts de squash, et je sais que revenir à mon niveau prendra du temps. Mais la pause m'a redonné encore plus d'énergie et m'a montré à quel point j'aime ce sport.


3. L'année dernière, tu échoues malheureusement en finale face à Grégoire Marche. Le tableau vous positionne en quart de finale, si tout se profile bien pour vous deux au 1er tour. Vous ne vous êtes pas rejoué depuis cette finale sur le circuit pro. Ce match aura une allure de revanche. Comment penses-tu aborder ce match ?

Après autant de temps loin des tournois, mon principal objectif est le premier tour. Le tableau de qualification est très relevé (ndlr : Chris Simpson joue, au 1er tour, un joueur sorti des qualifications) et aucun match n'est facile sur le circuit.

 

4. Tu es natif de l'île de Guernesey, raconte-nous un peu ton parcours. Qu'est ce qui fait que tu sois devenu un des meilleurs joueurs de squash au monde en ayant débuté sur cette belle petite île de la Manche ?

J'ai commencé à jouer au squash au centre de loisirs de l'île quand j'avais huit ans et j'ai tout de suite aimé. Il n'y a qu'un seul club de squash sur l'île, mais il y a une riche histoire autour du squash à Guernesey et une communauté qui prospère. À 14 ans, j'étais le meilleur joueur de l'île, puis à 16 ans, je suis allé en Angleterre dans un internat à Brighton pour poursuivre le squash plus sérieusement.

 

5. Tu as atteins le top 20 mondial en 2014. Tu as 30 ans ... Quels sont tes futurs objectifs pour les années à venir ?

Je suis aussi passé top 20 en janvier cette année, juste avant ma blessure. J'ai l'impression d'avoir joué au top de ma carrière juste avant de me blesser, alors si mon corps va mieux, je crois que je peux retrouver mon classement, voir plus.





+

5 questions à Hollie Naughton Publié le vendredi 25 août 2017


Nous avons posé 5 questions à Hollie Naughton (CAN) - Tête de série N°5 et N°38 mondiale :


1. Hollie, ce doit être ton tout premier tournoi sur le circuit PSA en France. Pourquoi avoir choisi l'Open International de squash de Nantes pour ce premier tournoi de la saison ?

C'est mon tout premier tournoi PSA en France et ce sera le premier de la saison. Depuis l'année dernière, j'ai entendu beaucoup de bonnes choses sur l'Open International de squash de Nantes sur le circuit et je voulais y participer moi aussi.

2. Tu es canadienne, mais tu es née en Angleterre. Où et comment as-tu découvert le squash dans ta jeunesse ?

J'ai déménagé au Canada à l'âge de 10 ans. J'ai grandi près du club de squash de Barnsley en Angleterre où mes parents jouaient. Je suppose que j'ai eu beaucoup d'influence depuis mon plus jeune âge. J'ai commencé à jouer quand j'avais environ 7 ans.


3. Et aujourd'hui, où t'entraînes-tu ? Avec qui as-tu la chance de t'entraîner au quotidien ?

Je varie actuellement mes entraînements entre l'Angleterre (Pontefract Squash Club) et l'université de Cornell (aux États-Unis) avec mon entraîneur David Palmer. Il m'est difficile de donner un ou deux partenaires d'entraînement, car il y a énormament de joueurs à Pontefract et à Cornell avec lesquels je peux m'entraîner.

 

4. Le tirage au sort te fait affronter au premier tour à Nantes : l'anglaise Julianne Courtice. Nous la connaissons bien car elle a atteint les demi-finales l'an passé et elle a été l'une des surprises car elle sortait des qualifications. Comment te sens-tu à l'approche de cette première rencontre de la saison ?

Je suis ravie de commencer la saison après quelques mois de "break" dû à la trêve estivale. Je sais que Julianne va être une adversaire difficile et je ne vais certainement pas la prendre à la légère surtout parce que c'est le tout premier tournoi pour la plupart d'entre nous. Je travaille surtout pour bien me préparer et espérer commencer fort.

 

5. Si tu gagnes cette rencontre, tu joueras le reste de tes matchs sur le court vitré (dans un lieu emblématique de Nantes : les Nefs). Ce tournoi est un 15 000 $, tu fais beaucoup de tournois de cette catégorie-là aux États-Unis et au Canada. As-tu souvent l'opportunité de jouer sur un court vitré sur ces tournois ?

L'une des principales attractions de ce tournoi est le fait qu'il y a un court vitré. C'est le deuxième tournoi avec cette hauteur de dotation pour lequel je vais pouvoir pratiquer sur un court vitré. C'est une excellente occasion pour moi de pouvoir jouer sur ce type de court avant les plus gros tournois à venir. Ça va vraiment me motiver pour gagner mon premier tour. Qui n'aimerait pas jouer sur une court vitré ?!



+

5 questions à Framboise Publié le jeudi 24 août 2017


Nous avons posé 5 questions à Framboise Gommendy - Journaliste SquashSite :


1. Après l'édition de 2016, vous revenez à Nantes, quel aspect de cet Open Squash vous plaît tant, vous qui parcourez le monde ? Comment se distingue-t-il ?
Il y a deux facteurs qui m’ont séduite dans cet Open. Un, c’est l’équipe du tournoi. Tous des passionnés, non seulement de mon sport, le squash, mais aussi baignant dans mon métier initial, la culture. Ce sont des gens que j’ai envie d’écouter parler. C’est très important. Deux, c’est leur conception originale : en général, les promoteurs réunissent un budget pour le prize money, et font de leur mieux ensuite pour organiser la promotion du tournoi. A Nantes, la promotion du tournoi, le message d’amour que les organisateurs tentent de faire passer au public néophyte de Nantes en particulier, et au reste du monde en général, fait partie intégrante du projet. D’où son succès retentissant.

2. Avez-vous abordé votre travail de journaliste différemment par rapport aux autres grands tournois mondiaux ?
J’ai tenté de faire le maximum d’articles en deux langues ! Je voulais faire partager au monde du Squash la spécificité du tournoi et de cette ville de Nantes que je découvre.

3. D'où vous vient votre passion pour le squash ?
Je ne sais pas. La première fois que j’ai tenu une raquette de squash, c’était à Bouaké, Côte d’Ivoire, en 1981. Mon père – qui avait été l’un des membres du Sport Club de Madagascar à avoir introduit le squash dans le pays – venait de décéder. Et je pense que le squash m’a apporté à ce moment un équilibre. J’ai découvert le haut niveau en 1986 en faisant partie de l’organisation des Championnats du Monde à Toulouse, je suis devenue de plus en plus impliquée, au niveau fédéral, puis journalistique. Et « the rest is History », comme disent les Anglais.

4. L'Open Squash de Nantes prône une facette culturelle, est-ce que cela réveille l'Actrice qui est en vous ?
C’est l’équipe, composée d’artistes, de créateurs, d’inventeurs d’émotions qui m’a grandement séduite. J’ai l’impression d’être « à la maison », de les avoir toujours connus, de parler la même langue passionnelle et émotionnelle. Je pense que je m’autorise à ouvrir le robinet de l’émotion sans la retenue que je tente - sans grand succès parfois - de moduler sur un évènement « normal ».

5. L'Open Squash change de lieu emblématique et culturel nantais à chaque édition, que pensez-vous de ce choix scénographique des Nefs cette année ?
Je pense que le succès de Nantes vient aussi de ces choix de lieu. Lieux emblématiques, lieux originaux, lieux surprenants. J’ai envie de prendre les lecteurs de nos reportages, et de leur faire visiter tous ces lieux comme s’ils étaient avec nous, à Nantes. Et le choix des Nefs, l’emblème de cette troisième édition, l’éléphant, est incontournable, inévitable, et un coup de génie.

+

5 questions à Marko Podgoršek Publié le lundi 31 juillet 2017

A chaque combat, un arbitre ...
Une compétition de squash n'existerait pas sans arbitres : Nous avons posé 5 questions à Marko Podgoršek (SVN) - Arbitre International WSF et "Tournament Referee" de la compétiton :


1. Marko, c'est la 2è fois que tu viens arbitrer l'Open International de squash de Nantes. Tu étais présent à la toute première édition, en 2015, lorsque le court vitré était placé au Lieu Unique. Quel souvenir gardes-tu de cette édition ?

Les choses évidentes à retenir sont la superbe ville de Nantes et l'incroyable lieu : Le Lieu Unique. Mais ce qui m'a vraiment le plus étonné, c'était les spectateurs ! Tout d'abord, c'est que la salle soit presque complète dès début de l'événement, ce qui est incroyable. Mais plus important encore, c'était leur attitude. Ils ont salué chaque joueur, gagné ou perdu, avec d'énormes salves d'applaudissements et une sincère admiration pour leurs efforts.

2. Tu vas être le "Tournament Referee" de cette 3è édition sous les nefs, quel rôle joues-tu dans le corps arbitral ?

Mon rôle en tant que "Tournament Referee" sera d'attribuer les arbitres aux différents matchs et de m'entretenir avec la PSA pendant l'événement. En plus, il est de ma responsabilité d'aider à résoudre tout les problèmes concernant l'arbitrage, si toutefois ils surviennent.


3. Un nouveau système d'arbitrage s'installe petit à petit sur le circuit : Un arbitre central + un arbitre vidéo. Ce système sera appliqué à Nantes pour cette 3è édition. Que penses-tu de cette évolution sur le circuit professionnel ?

J'ai arbitré quelques matchs comme arbitre central avec un arbitre vidéo et je dois dire que j'ai bien aimé. Il est plus facile pour l'arbitre central de contrôler le match, mais d'autre part cela donne un rôle beaucoup plus d'important à l'arbitre vidéo, par rapport au système à 3-arbitres. Oui, il y a beaucoup plus de pression pour l'arbitre central, mais un bon arbitre vidéo fait aussi beaucoup la différence.

 

4. Tu es slovène, le squash n'a pas très répandu dans le pays. Explique-nous un petit peu : Qu'est ce qui fait que tu soit devenu un des meilleurs arbitres au monde dans cette discipline qu'est le squash ?

C'est une succession inattendue d'événements, en fait. A l'époque, tous les pays qui participaient aux Championnats d'Europe par équipe devaient fournir un arbitre, quelle que soit son grade. Étant simplement timide de faire parti l'équipe, j'ai été envoyé comme arbitre aux championnats d'Europe par équipe à Vienne, où j'ai entendu des arbitres italiens discuter d'un cours d'arbitrage avec un évaluateur anglais. J'ai participé à ce cours, puis j'ai été invité par la Fédération Italienne de Squash aux championnats du monde juniors à Milan un peu plus tard, c'est cette année-là que tout à commencé ...

 

5. Nous sommes assez curieux. Arbitre international WSF, est-ce ton vrai métier ? Un arbitre peut-il vivre du squash à plein temps ? Ou est-ce que tu as une activité professionnelle en parallèle ?

Il n'y a pas d'arbitre professionnel de squash. Nous couvrons nos dépenses avec des extras, mais gagner sa vie est absolument impossible. Donc, tous les arbitres sont soit déjà retraités, soit ont une activité professionnelle en rentrant chez eux. Donc, aucun de nous ne le fait pour l'argent - nous le faisons tous pour l'amour du squash, pour voyager et pour rencontrer des gens étonnants.

+

World Games 2017 Publié le samedi 29 juillet 2017

Retour sur les Jeux Mondiaux (les jeux des sports "non olympiques") qui se sont déroulés à Wroclaw en Pologne.

Bravo à nos 3 médaillés français :
- En OR pour Camille Serme
- En ARGENT pour Gregoire Marche
- En BRONZE pour Mathieu Castagnet

Bravo à Coline Aumard, quart de finaliste, qui échoue de très peu face à la future finaliste (Joey Chan).

Sans oublier les performances des nombreux participants de l'Open International de squash de Nantes 2017 présents à Wroclaw pour ces jeux :
- Fiona Moverley (ENG) : Demi-finaliste
- Millie Tomlinson (ENG) : Quart de finaliste
- Nele Gilis (BEL) : Quart de finaliste
- Ben Coleman (GBR) : Huitième de finaliste
- Misaki Kobayashi (JPN) : Huitième de finaliste
- Shehab Essam (EGY) : Seizième de finaliste
- Tessa Ter Sluis (NED) : Seizième de finaliste
- Ineta Mackevica (LAT) : Seizième de finaliste
- Anna Serme : (CZE) : Seizième de finaliste

+

Championnats du monde Junior Publié le lundi 24 juillet 2017

Quel honneur !

Ce lundi viennent de se terminer les championnats du monde junior (individuels) à Taurenga en Nouvelle Zélande.
L'Open International de squash de Nantes aura l'honneur d’accueillir la championne du monde Junior et le vice-champion du monde junior :


=> L'égyptienne Rowan El Araby sacrée championne du monde junior ce matin. Nous aurons la chance de la voir jouer à Nantes (pour son 8è de finale à La Maison du Squash le mercredi 6 Septembre en début d'après-midi).


=> Notre jeune français et très prometteur : Victor Crouin sacré, lui, vice-champion du monde junior au détriment d'une finale en 5 jeux. Une performance exceptionnelle. Bravo Victor ! Seul Grégory Gaultier a déjà réussi à faire de même dans sa jeunesse. Il participera aux qualifications à La Maison du Squash dès le Lundi soir (4 Septembre) : Ça promet !


Et ce ne seront pas les seuls juniors dotés de talent présents à Nantes, à noter les performances :


Côté féminin :
- Amina Yousry (EGY) : Médaillée de bronze
- Zeina Mickawy (EGY) : Quart de finaliste
- Sivasangari Subramaniam (MAS) : Quart de finaliste


Côté masculin :
- Mohammad Al Sarraj (JOR) : Médaillé de bronze

+

Tableaux principaux disponibles Publié le mercredi 19 juillet 2017

Le tirage au sort des 2 tableaux principaux de l'Open International de squash de Nantes 2017 est désormais effectué.

* Du côté des hommes :
Le tirage au sort du tableau masculin est essentiellement marqué par le 1er tour 100% tricolore : Mathieu Castagnet - Lucas Serme. Malheureusement, cela peut arriver assez régulièrement sur le circuit que 2 joueurs d'une même nationalité se jouent dès le 1er tour, la preuve... Ce match "choc" sera prévu sur le court vitré aux nefs le mercredi en toute fin de soirée à partir de 21h30.

Hormis ce tirage "malchanceux", le double tenant du titre Grégoire Marche jouera un joueur sorti des qualifications, le match est prévu sur le court vitré également, un peu plus tôt, à 18h.

Les autres matchs du 1er tour se joueuront à la Maison du Squah à Sautron le mercredi en tout début d'après-midi, avec déjà de belles affiches comme Mohamed Ali Reda face à Olli Tuominen à 12h, Declan James opposé à Youssef Soliman à 15h ou encore notre Wild Card Auguste Dussourd qui sera opposé au jeune qatari Abdulla Al Tamimi.

Voici, dans le détail, le tableau principal masculin :


* Du côté des femmes :

Coline Aumard, meilleure prétendante tricolore, débutera la compétition sur le court vitré le mercredi soir à 20h30 face à une joueuse sortie des qualifications. Nous pourrons voir également sous les nefs le premier tour de la belge Nele Gilis, tête de série N°4, face à la jeune égyptienne Hana Moataz à 17h30.

L'anglaise Millie Tomlinson, tête de série N°1, ouvrira le bal au club de La Maison du Squash à Sautron à 12h face à notre Wild Card Julie Rossignol. De belles rencontres au programme d'entrée de jeu pour la japonnaise Misaki Kobayashi et la canadienne Hollie Naughon qui joueuront respectivement l'égyptienne Amina Yousry et l'anglaise Julianne Courtice (demi-finaliste l'an passée).

Voici, dans le détail, le tableau principal féminin :


* Planning des matchs du 1er tour, le mercredi 6 Septembre :

Au club de La Maison du Squash à Sautron :

- 12h00 (Court N°1) : [8*] Mohamed Reda (EGY) - Olli Tuominen (FIN)
- 12h00 (Court N°2) : [1*] Millie Tomlinson (ENG) - [WC] Julie Rossignol (FRA)
- 12h00 (Court N°3) : Qualifier - [8*] Rowan Elaraby (EGY)

- 13h00 (Court N°1) : [WC] Auguste Dussourd (FRA) - [7*] Abdulla Mohd Al Tamimi (QAT)
- 13h00 (Court N°2) : [7*] Zeina Mickawy (EGY) - Qualifier
- 13h00 (Court N°3) : Qualifier - [5*] Chris Simpson (ENG)

- 14h00 (Court N°1) : Qualifier - [3*] Mazen Hesham
- 14h00 (Court N°2) : Julianne Courtice (ENG) - [5*] Hollie Naughton (CAN)
- 14h00 (Court N°3) : [6*] Misaki Kobayashi (JPN) - Racheal Chadwick (ENG)

- 15h00 (Court N°1) : [6*] Declan James (ENG) - Ben Coleman (ENG)
- 15h00 (Court N°2) : Qualifier - [2*] Fiona Moverley (ENG)
- 15h00 (Court N°3) : [4*] Nicolas Mueller (SUI) - Qualifier

Sur le court vitré, sous les nefs, à Nantes :

- 17h00 (Court vitré) : Hana Moataz (EGY) - [4*] Nele Gilis (BEL)
- 18h00 (Court vitré) : [1*] Grégoire Marche (FRA) - Qualifier

- 20h30 (Court vitré) : [3*] Coline Aumard (FRA) - Qualifier
- 21h30 (Court vitré) : Lucas Serme (FRA) - [2*] Mathieu Castagnet (FRA)


Réservez-vite vos places ici : BILLETERIE.

+

5 questions à Camille Serme Publié le jeudi 13 juillet 2017


Nous avons posé 5 questions à Camille Serme (FRA) - N°3 mondiale et joueuse de la saison PSA 2016-2017 :


1. Camille, tu as été décerné joueuse de l'année 2016-2017, lors des World Series Finals à Dubaï, au côté de Greg chez les hommes. Qu’est-ce que vous avez ressentis tous les deux et partagés lors de cette distinction ?

J'ai été très émue de recevoir cette distinction et que mon père soit sur place a rendu ce moment encore plus special ! Les joueuses qui étaient présentes ce soir là m'ont félicité après, c'était très sympa ! Et le fait que Greg remporte le meme prix chez les hommes était énorme, nous étions fiers d'être 2 français à recevoir ce prix. Nous portons au mieux les couleurs de notre pays tout au long de notre carrière.

2. Déjà 12 ans de carrière professionnelle. Depuis 2013, tu es dans le top 5 mondial, quels vont être tes objectifs pour la saison prochaine ?

12 ans deja ?? Wouah :) Hehe ! Non plus sérieusement, mon rêve de toujours est de devenir championne du monde et numero 1 mondiale donc cela reste mon objectif pour la saison prochaine. Mais je sais que pour cela, je dois me focaliser sur ce que j'ai à faire sur le court, sur la progression globale de mon jeu et de mon physique. Cela va être mon objectif premier pour la saison 2017-2018.


3. Depuis quelques années, le squash féminin arrive à trouver tout doucement sa place, notamment dans le monde professionnel où les prix en argent commencent à s'équilibrer entre les hommes et les femmes, le nombre de tournois internationaux a augmenté tout comme le nombre de joueuses professionnelles. Il y a certes encore beaucoup de chemin. Qu'est ce qu'il manque au squash, à ton avis, pour attirer encore davantage les femmes à pratiquer le squash ?

C'est une bonne question :) Je pense qu'il faut essayer de sensibiliser les filles dès leur plus jeune age, leur montrer tous les aspects positifs du squash, que c'est un sport ludique qui développe plein de qualités physiques et intellectuelles. Je pense également qu'il est bien d'organiser des événements féminins en France et d'en faire parler le plus possible via les réseaux sociaux notamment. De mon côté, j'essaie de faire les meilleurs résultats possible aussi pour faire parler du squash féminin, cela me tient à coeur.

 

4. On connaît ton soutien pour l’entrée du squash aux Jeux Olympiques, le squash a-t-il des atouts et des chances d’y arriver un jour ?

Oui je suis persuadée que le squash rentrera aux JO un jour, espérons même que se soit en 2024 avec Paris. C'est un sport extraordinaire, avec de vraies valeurs sportives, et le fait de pouvoir placer un court vitré n'importe où est un vrai atout ! Il faut rester positif et y croire !

 

5. L'Open International de squash de Nantes, tu en as déjà entendu parlé ? Pourrions-nous un jour imaginer te voir à Nantes ?

Bien sûr que j'ai entendu parler de l'Open de Nantes, et ce n'était que en bien ! :) J'aimerai beaucoup pouvoir y participer un jour c'est sûr ! C'est un vrai show qui est mis en place, c'est superbe ! Les joueurs sont ravis à chaque fois ! Ce serait énorme d'y voir un gros PSA féminin :)

+

Liste officielle des joueurs Publié le mercredi 5 juillet 2017

Les listes des 28 joueurs et des 28 joueuses sont maintenant disponibles !

* Chez les hommes :

Grégoire Marche, double tenant du titre, sera la tête de série de cette 3è édition !

La liste des joueurs de ce PSA 25 000 $ est exceptionnelle, Grégoire sera talonné par deux ténors du squash mondial :
 - Mathieu Castagnet redescendu au classement, mais ancien N°6 mondial.
 - Et le très spectaculaire égyptien Mazen Hesham de retour (ancien N°13 mondial).

Pour compléter les têtes de série, nous verrons notamment le suisse Nicolas Mueller, l'anglais Chris Simpson de retour de blessure et un jeune qatari Abdulla Al-Tamimi, tous dans le top 40 mondial.

Enfin, du côté des français déjà inclus dans le tableau principal : Lucas Serme ne sera malheureusement pas parmi les têtes d'affiches, il sera accompagné de la Wild Card de cette 3è édition : Ce sera Auguste Dussourd, en constante progression.

Du côté des qualifications, on peut noter le retour du finaliste de la 1è édition : le finlandais Henrik Mustonen, le champion du monde junior 2013, l'égyptien Karim El Hammamy, l'américain Todd Harrity ou encore Piëdro Schweertmann. Du côté des français, nous pourrons soutenir nos 4 invités : Geoffrey Demont, Christophe André, et les jeunes Victor Crouin et Sébastien Bonmalais vainqueurs récemment de leur tout premier PSA.

* Chez les femmes :

Les anglaises Millie Tomlinson et Fiona Moverley seront les grandes favorites du tableau féminin.

Pour ce PSA 15 000 $ Coline Aumard, tête de série N°3, aura fort à faire pour devancer ces 2 anglaises. Parmi les têtes d'affiches, nous aurons le plaisir d'accueillir la belge Nele Gilis, la japonaise Misaki Kobayashi et la canadienne Hollie Naughton toutes les trois classées dans le top 40 mondial.

Nous pourrons voir également pas moins de 4 jeunes égyptiennes très talentueuses dès les 1ers tours du tableau principal. Elles seront très certainement les surprises de cette édition 2017.

Quant au tableau de qualifications, très relevé également, il verra Rachael Chadwick finaliste l'an passé, en tête d'affiche pour se qualifier sur le court vitré sous les nefs. De nombreuses nationalités seront présentes dès les qualifications, on pourra y voir une très jeune malaisienne, 2 joueuses sud-africainnes, une jeune américaine et la soeur de la tête de série N°4, la belge Tinne Gilis. Parmi nos françaises, nous verrons Chloé Mesic parmi les têtes de série des qualifications, Enora Villard et nos 4 invitées seront Cyrielle Peltier, Elise Romba, Charlotte Delsinne et Laura Gamblin.


Les 2 tableaux seront d'un niveau hors norme. Pour cette 3è édition sous les nefs et sous les yeux de l'emblématique éléphant des Machines de l'Île, bien malin sera celui qui devinera les noms des 2 vainqueurs de cette 3è édition...

Réservez-vite vos places avant qu'il ne soit trop tard : BILLETERIE.
+

5 questions à Sherkan Publié le mardi 4 juillet 2017


Interview de Sarah Bellanger & Lauréline Baron - Réalisatrices de Sherkan :


1. Vous avez réalisé le teaser pour la 1ère édition en 2015, qu'est-ce qui vous avait plu dans le projet de l'Open Squash ?
Le projet de l'Open Squash nous a beaucoup plus pour son originalité et sa dimension culturelle. À la base, nous connaissions peu ce sport mais les installations en verre, le niveau des joueurs et la dimension artistique nous ont séduites ! C'est assez spectaculaire et c'est ce qui peut attirer beaucoup de néophytes.

2. Etait-ce la 1ère fois que vous vous lanciez dans une aventure où le sport était au cœur du projet ?
Nous avons fait beaucoup de projets en rapport avec la danse, mais plutôt des clips. C'est la première fois que nous nous lancions dans la vidéo d'un sport de raquette.

3. Comment aviez-vous abordé la mission de réaliser le teaser pour la naissance de cet événement hybride ?
François Le Jort a insisté sur le côté décalé de l'évènement : du sport professionnel au lieu unique, un site très culturel. On a composé un morceau avec un musicien (Rfade) en partant de son de rebonds de balles. Les bruits de balles se rythment de plus en plus jusqu'à se transformer en percussions, pour renforcer le côté spectaculaire et rythmé du squash. Nous avons travaillé avec des images d’archives et des photos du lieu unique car il n'y avait pas encore eu d’édition à Nantes ! Au montage, il fallait trouver une unité.

4. En 2017, vous rempilez pour la 3ème édition, abordez-vous ce défi d'une nouvelle manière ? Quelles sont vos sources d’inspiration ?
Les sources d'inspirations sont multiples. Le fait que cela soit aux Nefs déjà, et puis le travail des DJs et des danseurs. La dimension culturelle est encore plus présente. Nous sommes parties comme pour la 1ère édition sur le côté hybride, art & sport, de l'événement. Nous avons aussi intégré des images de l'éléphant. L’identité très forte de ce lieu doit être ressentie dans le teaser, nous avons eu envie de jouer sur des questions/ réponses de ces 3 univers sport - musique - danse. Nous avons également travaillé l’unité à travers les couleurs, des plans similaires au niveau des regards et de la mise en scène pour que les disciplines se confondent.

5. Un DJ, un danseur, une joueuse de squash, un éléphant, les nefs, c’est quoi l’histoire ?
L'histoire, c'est le jeu entre ces univers qui se rencontrent, la confrontation entre ceux-ci. La musique est d'inspiration Hip Hop et donne l'impulsion du mouvement. Nous avons utilisé un morceau créé spécialement pour l'évènement par DJ One Up et Jean du Voyage, les guest artists sur l'Open. Il y a dans un match de squash comme dans un battle de hip hop une notion de duel qu'on a souhaité mettre en avant dans la mise en scène du teaser.

6. Qu'est-ce qui selon vous fait qu'un teaser marque les esprits et remplit son objectif ?
Le teaser doit être court, percutant, il a un rôle d'accroche, il doit interpeller. Il doit être également court pour être diffusé sur tous les réseaux, impactant mais court. Il faut en raconter suffisamment pour donner envie d'aller au-delà !



+

5 questions à Coline Aumard Publié le lundi 3 juillet 2017


Nous avons posé 5 questions à Coline Aumard (FRA) - N°30 mondiale et N°2 française :


1. Coline, le public nantais va te découvrir pour la 1è fois, qu'est-ce qui t'as décidé à venir pour cette nouvelle édition ?

C'est exact, je n'ai pas eu la chance de venir l'année dernière. Le tournoi était organisé en même temps que le championnat d'Europe Individuel.
Cette année la date fonctionne dans ma planification et la dotation du tournoi est plus importante. Il est donc intéressant pour moi de le faire. Hélas depuis la saison dernière je ne peux plus faire de $ 5 000 car les points ne sont plus intéressants pour mon évolution dans le classement mondial. Je dois donc faire attention aux points pour éviter de faire des tournois qui peuvent me ralentir dans ma progression du classement.

2. Quel sera ton objectif cette année ?

Mon objectif est d'aller le plus loin possible dans te tableau. Le tournoi est en France et le gagner serait magique. Donc on va prendre match par match mais on va tout faire pour aller au bout.


3. L'année dernière, Hana Ramadan, toute jeune égyptienne a survolé la compétition et n'a laissé aucune chance à ses adversaires. Cette année, avec une augmentation de la dotation globale, le nombre d’égyptiennes risque certainement d'augmenter. Qu'est ce qui fait qu'elles dominent autant le squash mondial de nos jours ? Redoutes-tu d'en croiser sur ton chemin à Nantes ?

Hana Ramadan est une jeune joueuse très talentueuse et elle sera une grande joueuse dans le futur.L'Égypte a un quota de jeunes joueurs et joueuses qui fait d'eux la plus grande nation du squash mondial.Il y a des chances que je tombe sur une ou plusieurs joueuses égyptiennes mais j'ai l'habitude dans tous les tournois que je fais donc j'y vais sans pression que je joue égyptienne ou non.

 

4. Tu es depuis plusieurs années numéro 2 française et nous avons pu remarquer que tu progressais au contact de Camille mais aussi par ta détermination et ton assiduité au travail avec notamment des matchs très accrochés face aux tops mondiales, tu flirtes avec les 20ème place mondiale, quels vont être tes objectifs pour cette nouvelle saison ?

Merci c'est gentil. Effectivement les deux dernières années ont été très intéressantes et hélas la saison dernière n'a pas été celle que j'attendais au niveau des résultats. Je me suis remise en question et j'ai donc pris des décisions pour m'aider à réaliser cet objectif de classement qui est de rentrer dans le top 20. Je suis impatiente de commencer cette nouvelle saison et le PSA de Nantes sera le 1er de la saison.

 

5. Tu découvres la ville de Nantes et accompagne beaucoup tes jeunes coéquipières, que penses-tu d’un tel évènement ? Penses-tu qu’à l'avenir il puisse devenir un évènement incontournable pour le squash féminin français ?

Le développement du squash féminin français est très important pour moi. Venir participer à ce PSA est risqué car je ne mise pas sur la sécurité des points, mais l'organisation d'un tel événement en France est très important pour son développement, je n'ai donc pas hésité à m'inscrire pour y participer. Je tenais à vous remercier tous de nous proposer un tournoi tel que celui-ci , la dotation du PSA de Nantes est très importante pour aider les jeunes joueuses françaises dans le classement. De plus, la qualité que vous proposez pendant ce PSA homme et femme ne peut qu'aider au développement du squash français au niveau mondial.



+

5 questions à Joey Barrington Publié le dimanche 2 juillet 2017


Nous avons posé 5 questions à Joey Barrington (ENG) - Commentateur emblématique de Squash TV, ancien N°24 mondial, fils de la légende du squash Jonah Barrington (IRL) :


1. Joey, tu commentes tous les grands événements du circuit PSA, tu es venu à Nantes l'année dernière, qu'as-tu pensé de l'événement ?

Quand je suis venu à Nantes l'année dernière, ça m'a complètement coupé le souffle. L'organisation et l'installation étaient dignes d'un événement des World Series. Je n'avais encore jamais vu un spectacle avec un tel jeu de lumières et une introduction à chaque journée comme j'ai pu le voir à Nantes. Je pense que les tournois qui souhaitent progresser devraient prendre note et regarder l'introduction des matchs de ces dernières années.


J'ai également aimé le fait que les tribunes étaient pleines du premier au dernier match et que les gens arrivaient une heure plus tôt pour avoir un siège décent pour les matchs. Je me souviens avec mon co-commentateur Simon Parsh, qui a été littéralement balayé par une mer de gens qui se précipitaient pour s'asseoir. Cela nous a rappelé les tournois des années 80 quand la squash était à son plus haut.


Les personnes impliquées dans l'organisation étaient aussi adorables. Les gars de SquashTV qui travaillent et se déplacent sur plein d'événements dans le monde ont été traîtés au petit soin et ils ont été accueillis sur la base d'un 5 étoiles avec beaucoup de respect et d'appréciation. C'était rafraîchissant et bon à voir.



2. Tu as été un ancien joueur professionnel. Prends-tu autant de plaisir à commenter qu'à jouer ?

Je suis entré dans la squash comme pro très tard par rapport  aux autres. J'ai donc dû jouer avec mes entraînements et mon expérience des tournois au plus haut niveau. J'ai adoré la physionomie du sport, mais j'étais très nerveux dans les tournois. Je pense que la meilleure chose à faire pour moi est de regarder le squash et de l'analyser. Je n'ai jamais vraiment eu de stress quand il s'agissait de commenter et de présenter, alors peut-être que j'ai finalement trouvé ma voix.


J'adore faire progresser le sport grâce au développement de la couverture télévisuelle et j'aime apporter un certain humour avec une vue professionnelle et analytique du jeu. J'apprécie aussi le rapport que j'ai avec mes collègues commentateurs.


3. Le squash a terriblement évolué ces dernières années, comment arrêter les Egyptiens sur le circuit international ?

Le squash égyptien traverse un véritable essor, ils ont considérablement élevé le niveau jeu des femmes à de nouveaux sommets et ont augmenté l'intensité et le niveau de notre sport.


Ils offrent une grande variété de styles et de jeux qui sont en grande partie attaquants et fantastiques à regarder. Ils commencent le circuit pro très jeune et se déplacent très rapidement sur les tournois dans le monde.

Les Européens doivent répondre et j'espère vraiment qu'ils le font car le circuit PSA doit rester aussi international que possible pour que le jeu continue de progresser. Une fois que la vieille génération de Nick Mathew, Greg Gaultier et Willstrop sera terminée, il y aura un peu de vide.


J'espère juste que les joueurs les plus jeunes des autres pays ont assez faim et on va voir comment ils pourront s'en sortir dans le squash et, on l'espère, essayer de prendre à la gorge ces égyptiens.

 

4. À ton avis, que faut-il faire pour inclure le squash aux Jeux Olympiques ?

Le squash coche toutes les cases pour être un sport olympique, et plus encore. Je ne pense pas que cela a été assez bien présenté par le passé.


Nous avons maintenant une excellente couverture télévisuelle et des visionnage extensifs dans le monde entier. Je pense que la PSA devrait être chargée de toute les présentations futures car ils sont la vitrine du sport et ont été les seuls responsables de sa progression.

 

5. Pour finir, ton père était un grand joueur de squash, tu as été un joueur de squash professionnel, et tes futurs enfants ?

Mon père est une Légende du sport. Je n'ai jamais été poussé ou contraint à le jouer. J'ai apprécié les sports d'équipe plus grand, mais j'ai été piqué par le squash à mi-chemin de ma vie universitaire. Ce fut un voyage extraordinaire qui m'a amené partout dans le monde. J'espère que mon fils jouera, mais il faudra que ce soit son choix. Quoi qu'il fasse dans sa vie, je serai éternellement fier, j'aime être un père ! Il se nomme comme son grand-père, alors nous verrons.



+

5 questions à Romain Suire Publié le samedi 1 juillet 2017


Nous avons posé 5 questions à Romain Suire - Speaker de l'Open International de Nantes :


1. Romain, tu es speaker pour la 3è fois à Nantes pour cette édition 2017, sous les nefs. Nouveau décor cette année, que penses-tu de ce nouveau lieu pour l'Open International de Squash de Nantes ?

N’étant pas nantais d’origine, j’ai toujours cru que l’évolution de la compagnie Royal Deluxe par le fait qu’elle crée des machines devenues l’emblème de Nantes était quelque chose d’incontournable pour nous, et ce, dès le lancement de la première édition. Je l’avais clairement affiché… « Faire ça, ici, ça serait fou ! ».  Bien évidemment, à l’époque où on parlait de manière informelle d’organiser un open PSA, je n’imaginais même pas que ça se fasse réellement. Aujourd’hui, le lieu des Nefs (« maison de l’Eléphant ») est un lieu drainant un passage énorme chaque jour, des personnes venues du monde entier grâce à l’impact du « Voyage à Nantes » ou des nantais en famille. Dans le cœur de la ville, faire de notre sport en développement une vitrine, là où l’on place le projet au centre de l’évènement sportif, c’est clairement comme un rêve qui devient réalité … On a réussi !

2. Explique-nous un peu, qu'est-ce qui fait que tu sois devenu la "voix" de cet événement ?

A vrai dire je me le demande encore… Tout cet événement étant parti de grands débats de passionnés de squash (et de sport en général), on s’est forcément demandé s’il fallait faire appel à un professionnel pour remplir la mission. Et puis, en imaginant un évènement « cool », décalé, basé sur la démocratisation du sport et sur quelque chose d’anti-conformiste, François m’a un jour dit « toi qui connaît très bien les joueurs et ce sport, tu pourrais le faire ! ». J’ai trouvé ça drôle d’autant que je m’étais exercé au détour d’un pari lors des Championnats de France élite à Strasbourg puis lors des plays-off par équipes de clubs au Mans. J’ai reçu beaucoup de compliments très touchants de la part de dizaines de personnes pensant même que c’était mon métier. Je prends du plaisir à le faire, je le fais spontanément, j’apprends et je pense que ça se ressent. Aujourd’hui la Fédération Française de squash me propose de recommencer pour les phases finales des Championnats de France de Nationale 1 et « cerise sur le bateau » : je deviens même le speaker des Championnats du Monde par équipes à Marseille en décembre… Tout ça parti d’un « délire », je me prends au jeu et je trouve très drôle que, même les commentateurs de Squash TV, me comparent à certains grands et que des joueurs top 30 mondial me disent que je fais ça très bien… Je trouve ça fou !


3. Hormis cette tâche délicate de "MC" que tu incarnes, quel rôle joues-tu également dans l’organisation de ce PSA ?

Au départ, l’idée c’est de jouer le rôle de bénévole comme chaque personne impliquée dans le noyau dur de l’organisation. Je souligne qu’avec désormais plus de 80 bénévoles, l’aventure partie d’un challenge improbable a pris une ampleur qui me surprend toujours. Ça fait bientôt 30 ans que je suis dans le monde du squash. J’ai eu la chance de côtoyer les meilleurs auparavant (et c'est le cas éncore maintenant). Je sers donc à partager mon expérience, à répondre aux attentes des joueurs face à un événement que nous voulons, quoi qu’il en soit, différent. J’ai la chance de connaître le haut niveau et les instances internationales donc je m’efforce de partager les attentes. Je suis aussi en charge de « recruter » ces joueurs qui vont dynamiser le tableau avec pour objectifs de : représenter tous les continents (et souligner le terme open « international »), créer la dureté du tableau, c’est-à-dire obtenir des niveaux proches pour assurer le suspense et qu’il n’y en ait pas un ou deux qui écrasent tout ; puis enfin trouver des joueurs au style spectaculaire et offensif, avec naturellement des personnalités et des forces attractives pour les partenaires et le public nombreux. Je suis aussi fréquemment interrogé sur les points divers de l’organisation, je trouve des partenaires, je participe plus largement à l’échange autour de l’attractivité de l’événement. Nous partageons nos expériences avec la PSA, notamment lors d’autres opens internationaux comme le fameux Canary Wharf où nous nous rendons chaque année. Mon rôle n’est pas seulement de faire taper des mains, il est d’après moi aussi de trouver comment et pourquoi faire taper des mains…

 

4. L'année dernière, Grégoire Marche a remporté pour la 2è fois d'affilée l'Open de Nantes et la jeune égyptienne Hana Ramadan a survolé la compétition féminine. Comment vois-tu les choses pour nos 2 tenants du titre en l'approche de cette nouvelle édition ?
Je vais commencer par les femmes. Nous passons de 5 000 $ de dotation à 15 000 $. Naturellement, les têtes de série de l’édition précédente, qui reviennent, vont être bousculées par des joueuses plus fortes sur le papier. D’après moi Hana Ramadan, sous réserve qu’elle confirme sa présence, joueuse que je connaissais par ses résultats et son potentiel, a toutes ses chances de faire un beau résultat mais je crains que sa victoire finale ne soit plus difficile avec des adversaires classées dans le top 30 mondial et des joueuses plus expérimentées du très très haut niveau. La numéro 2 française Coline Aumard fera d’ailleurs partie des joueuses tête d’affiche difficile à faire tomber. Chez les hommes, la dotation reste la même. J’ai d’ores et déjà fait confirmer la présence de certains joueurs déjà présents l’année dernière et les niveaux en têtes d’affiche devraient de nouveau être assez serrés. Je pense donc en effet que Grégoire a toutes ses chances, lui-même devenu l’une des mascottes nantaises, transcendé par le public pour son invincibilité sur l’évènement. Cependant, de nouveaux joueurs sont aussi attirés par l’open qui fait de plus en plus de bruit dans le monde du squash et le sport ne serait pas ce qu’il est s’il ne réservait des surprises match après match. Je vois donc les cartes totalement redistribuées pour cette 3ème édition et que le meilleur gagne !

 

5. En 2015, au Lieu Unique, tu danses en ghosting sur le son des DJ. En 2016, à la Cité, tu fais le show en tenue vintage introduit par les commentateurs de SquashTV. As-tu déjà prévu quelque chose pour cette nouvelle édition sous les nefs avec les machines de l'île de Nantes en toile de fond ?

C’est vrai qu’en 2017, je n’en reviens toujours pas d’avoir fait ça, d’autant que dans les deux cas, personne n’était au courant et peut-être même pas moi. Certains joueurs internationaux regardant l’open sur Eurosport Player m’ont même envoyé des messages pendant la finale me demandant ce qui m’était passé par la tête… Là encore, je vais laisser la surprise, tout comme de nombreuses seront proposées pendant l’open de Septembre mais à en croire l’adage « jamais deux sans trois », on pourrait bien croire en effet que cette fois-ci j’ai une idée bien précise de la « bêtise » d’avant finale. Je rappelle au passage que le ridicule ne m’a jamais tué et que j’ai découvert après coup que certains de mes clients étaient dans l’assemblée lors des deux premières éditions. Alors pourquoi s’arrêter si ça fait sourire ?

+

5 questions à Pierre Oréfice Publié le vendredi 30 juin 2017


Nous avons posé 5 questions à Pierre Oréfice - Directeur & Co-auteur des Machine de l'Île :


1. En quelques mots, les Machines de l'île fêtent leur 10e anniversaire cette année, quels sont tes plus beaux souvenirs ?
L’ouverture des Machines de L’île le 30 juin 2007, l’arrivée du carrousel le 15 juillet 2012 : ces ouvertures sont pour chacune d’elle comme un aboutissement d’intelligence et de travail collectifs, un accouchement d’une aventure unique. C’est en même temps le moment de la transmission au
public !
La nocturne du 9 juillet 2016 est également un très bon souvenir. Cette soirée pendant la Maker Fair nous a surpris, on a lâché tous les artistes invités sur le parcours de l’éléphant éclairé par une boule de feu et la magie s’est opérée ; la rencontre des artistes mais aussi le dialogue de leurs machines avec le public nantais.

2. Le sport et la culture ont-ils des points communs ?
Le sport et la culture sont des spectacles. Leur point commun est le public.
Dans un spectacle, la dramaturgie embarque le public, les retournements, les drames, c’est quelque chose qui se tend, qui crée l’attention, l’émotion, l’élévation pour en faire des moments partagés et inoubliables.

3. Pourquoi un open de squash sous les nefs ?
La proposition renouvelée chaque année dans un lieu culturel différent avec à chaque fois une histoire nouvelle à tisser, à réiventer, m’a plu.
Les nefs sont une cathédrale, il y a une sensation d’élévation dans cette construction …
La scénographie proposée aux nefs, une construction qui rentre dans l’espace d’une construction…
La scénographie, le spectacle proposés vont magnifier les nefs et les nefs vont magnifier la compétition.

4. Qu’attends-tu de cet événement ?
Confirmer qu’on installe différemment le sport, la culture, le tourisme à Nantes.
Cloisonner ne veut plus rien dire, chercher des passerelles, créer des projets hybrides donne du sens, cela est plus proche de nos histoires et de nos vies.

5. Que penses-tu de la ville de Nantes en termes d'innovation culturelle et... sportive ?
C’est au public de répondre …



+

5 questions à Grégoire Marche Publié le mercredi 28 juin 2017


Nous avons posé 5 questions à Grégoire Marche (FRA) - Double tenant du titre de l'Open International de Squash de Nantes 2015 et 2016 :


1. Grégoire, tu es venu 2 fois à Nantes, tu as soulevé 2 fois le trophée. Tu sembles clairement invincible ici. Ne serais-tu pas déjà devenu le plus nantais des joueurs professionnels français ?

Oui c'est vrai que Nantes semble me réussir ! C'est tellement rare pour nous de pouvoir jouer devant un public français mais surtout quel public !!! Du coup je pense qu'inconsciemment cela donne une motivation encore plus forte et donc oui l'atmosphère me plait beaucoup ici !

2. Tu vas avoir sur tes épaules l'étiquette de favori pour cette 3è édition. Comment aborderas-tu la compétition ?

Je ne sais pas si je vais vraiment être favori, cela dépendra des inscrits mais dans tous les cas je vais jamais à Nantes avec beaucoup de pression puisque c'est le premier PSA de la saison ou je viens prendre des repères et confirmer que ma préparation physique estival s'est bien passé !


3. Cette année, l'équipe de France a remporté pour la 2è fois de son histoire le titre de champions d'Europe par équipe face aux anglais en finale (ndlr : les anglais sont détenteurs de 40 titres sur 45 éditions). L'année dernière, tu remportes coup sur coup Daryl Selby (ENG) en demi-finale puis Chris Simpson (ENG) en finale. Les anglais vous feraient-ils moins peur qu'il n'y a quelques années ?

Je pense pas que les Anglais nous faisaient peur avant, c'est juste qu'ils avaient une équipe beaucoup trop homogène pour qu'on puisse les inquiéter, mais depuis 2/3 ans nous sommes tous les 4 arrivés à maturité pendant que eux, leur équipe prend de l'âge on va dire... Alors oui c'est vrai que maintenant nous rentrons sur le court avec bien plus de confiance contre eux et ça se traduit par de meilleurs résultats ! 

 

4. Tes coéquipiers d'équipe de France risquent d'être présents pour cette 3è édition (notamment Mathieu Castagnet et Lucas Serme). Il y a donc de grandes chances que vous vous rencontriez dans le tableau. Si jamais cela devait arriver, est-ce que cela change ta façon d'aborder la rencontre ? Penses-tu que le public nantais, acquis à ta cause désormais, te sera utile ?

On verra bien la tournure du tableau mais en effet ça peut arriver de se rencontrer ! Le support du public sera donc sûrement un peu différent mais j'espère bien être toujours le chouchou du public !

 

5. Nouveau décor cette année, le court vitré sera placé dans un des lieux les plus emblématiques de la ville : Sous les Nefs où abritent le Machines de l'Ile. Que des équipes de passionnés bénévoles montent des évènements de cette taille en France, aussi originaux et hétéroclites que celui de Nantes, ces événements sont-ils à ton avis moteurs pour voir dans un avenir proche le squash aux jeux olympiques ?

Évidemment que ça aide énormément! Cela tire le squash vers le haut et d'ailleurs j'en profite pour encore remercier et féliciter toutes les personnes qui sont impliqué dans ce tournoi qui résonne dans le monde entier! J'entends à chaque fois que des bonnes remarques sur cette organisation qui sort un peu du commun donc c'est que du positif pour une possible entrée aux jeux Olympiques ! On croise tous les doigts en tout cas encore une fois !



+

5 questions à Hana Ramadan Publié le mardi 27 juin 2017


Nous avons posé 5 questions à Hana Ramadan (EGY) - Tenante du titre de l'Open International de Squash de Nantes 2016 :


1. Hana, tu as gagné la toute première édition de l'Open International de Squash de Nantes. Tu va revenir à Nantes pour y défendre ton titre. Qu'as-tu pensé de l'atmosphère nantaise ?

Je suis tombée amoureux de Nantes. C'est une ville artistique et si belle. En plus de cela, le tournoi a été très bien organisé et a eu une forte audience. Je suis vraiment excitée de revenir et surtout de pouvoir rejouer sur le court vitré et tenter d'y défendre mon titre.

2. La dotation globale à augmentée pour passer à 15 000 $. Le tableau sera plus relevé, tu ne seras sans doute pas parmi les grandes favorites ? Quel sera ton objectif cette année

C'est formidable de voir que la dotation a augmenté. Cela montre que le squash devient de plus en plus grand. Jouer dans un tableau plus relevé sera clairement plus difficile, mais j'adore les défis et je travaille beaucoup pour préparer ce tournoi. J'aimerais défendre mon titre, mais je prendrai chaque match l'un après l'autre et je me concentrerai sur le jeu autant que possible.


3. De nos jours, l’Égypte domine le squash de plus en plus. Qu'est ce qui fait que vous êtes si fort ? Qu'y a-t-il de différent en Égypte pour former de jeunes joueurs tels que toi au si haut niveau ?

J'ai l'impression que, très jeune, les Egyptiens sont exposés au squash de très haut niveau. Avoir tant de grands joueurs talentueux à notre disposition, dans nos clubs prêts à nous aider, cela permet réellement de former des joueurs vraiment forts.

 

4. Passes-tu tout ton temps à ta carrière de professionnelle dans le squash ? Ou est-ce que tu fais autre chose en dehors (étude, travail ...) ?

Bien que le squash soit pour moi l'élément principal, j'étudie également la physiothérapie à l'Université de Nottingham. Je suis passionnée de cela et j'aimerais devenir physiothérapeute après l'université en même temps que je joue sur le circuit PSA. Le temps que je termine ma formation, je ne peux pas faire du squash et m'entraîner de manière professionnelle à plein temps mais j'ai néanmoins la capacité de m'entraîner avec autant de qualité qu'une professionnelle à temps plein. Il s'agit de trouver l'équilibre parfait.


5. Au delà de ton passage à Nantes, quels sont tes objectifs saison sur le circuit ? Et sur le long terme ?

Je vise le top 20 du mondial, mais mon entraîneur me dit que je peux viser plus haut. Il est important pour moi de prendre un tournoi à la fois, et un très bon résultat à Nantes pourrait être un formidable tremplin pour mon classement.

+

5 questions à Grégory Gaultier Publié le samedi 17 juin 2017


Nous avons posé 5 questions à Grégory Gaultier (FRA) - Parrain de l'événement, N°1 mondial, champion du monde 2015 :


1. Greg, une question désormais habituelle : Tu es actuellement numéro 1 mondial en 2017, champion du monde 2015, à bientôt 35 ans, près de 900 matches au compteur et bientôt 20 ans de carrière ! Mais jusqu’où iras-tu ? Quel est ton état d’esprit aujourd’hui ?

Je compte bien jouer encore quelques années, apres je ne sais pas combien, je ne me fixe pas de date de sortie encore. Pour le moment je fais un très bon début d'année 2017 apres une année 2016 frustrante à cause de beaucoup de blessures, j'étais remonté comme une pendule après Noël et vraiment motivé à remettre les points sur les i. Tant que j'arrive à gérer les petits pépins physiques, prendre du plaisir à m'entraîner et faire de la "compète" alors je continue.

2. Tu es champion d’Europe par équipes en titre et tu as enchaîné 6 victoires consécutives en opens internationaux dont le mythique British Open. As-tu le temps de penser à l’après-carrière ? As-tu des idées d’orientation ? 

Je n'y pense pas trop pour le moment mais j'ai quelques idées. Soit rester dans le squash pour apporter mon experience et mes connaissances ou autre genre de métier, un de mes partenaires m'a déjà proposé de bosser pour lui.


3. Avec ce palmarès hors norme et une carrière de légende que tout sportif professionnel pourrait envier, quelle a été d’après toi la recette ? Penses-tu avoir dû adapter ton jeu ou ton entraînement au fur et à mesure de l’arrivée de nouveaux joueurs ?

Il n'y a pas vraiment de secret, il faut être rigoureux, discipliné, être en permanence dans le soucis du détail, bien s'entourer, travailler avec les personnes en qui on a confiance, arriver à s'adapter en permanence, s'informer au maximum et communiquer avec son équipe. J'ai du adapter mes entraînements au fur et à mesure des années bien sûr, d'une part car je prends de l'âge donc des entraînements où on préserve un max mon corps et aussi arriver à s'adapter avec la nouvelle génération de joueurs, le scoring qui a changé aussi durant ma carrière etc...

 

4. Nantes est devenu désormais un lieu où le squash français est représenté sur le circuit professionnel. Nous avons aussi à cœur depuis 2 années maintenant de créer une mise en scène autour de ce sport ludique et spectaculaire. Avais-tu entendu parlé de l’évènement ? Pourrons-nous imaginer un jour avant la fin de ta carrière avoir un champion du monde dans nos enceintes ?

J'ai vu pas mal d'images du tournoi de l'an passé et tous les joueurs et membres de la PSA m'ont dit que des choses positives, que l'organisation était exceptionnelle... J'ai même regardé quelques matchs de Grégoire Marche sur PSASquashTV dont la demi et la finale bien sûr. J'aimerais un jour faire parti de votre spectacle, ça me ferait énormément plaisir de jouer un PSA en France surtout avec ce genre d'organisation et de public.


5. Toi qui a tout connu au plus haut niveau mondial, aurais-tu des conseils à donner aux organisateurs d’un open qui ont envie de se différencier aux yeux du public et de satisfaire les joueurs ?

Satisfaire le public, vous le faites déjà avec l'ambiance et l'atmosphère que vous créez. Ensuite satisfaire les joueurs, il faut juste que le joueur se sente bien et qu il n'ai qu'à se focaliser sur son match et produire du bon squash. Mettre tout à disposition pour qu'il soit performant, du coup ça donne un meilleur spectacle pour le public.

+

Interview Michel Bouvet - Affichiste de l'Open International Publié le vendredi 2 juin 2017


Interview Michel Bouvet - Affichiste de l'Open International de Squash de Nantes


1. Comment l'Aventure a-t-elle commencé avec l'Open International de Squash de Nantes ?

En 2014, François Le Jort m'a appelé et me demande "Tu travailles dans la culture, nous souhaitons organiser un événement sportif avec les codes culturels, est-ce que ça t'intéresse de te lancer dans notre aventure sportive mais pas seulement ? ". Personnellement, je ne fus pas "contre" de relever cette proposition. Je regarde le sport, je pratique le sport, je n'avais pas d'opposition !

2. Est-ce la première fois que vous travaillez pour un événement sportif ?

Non. J'ai déjà fait trois ou quatre affiches pour le sport auparavant. J’ai travaillé pour la ville de Montluçon dans l'Allier, j'ai fait plusieurs affiches, pour la ville de Créteil aussi. Puis également sur le Cross du Figaro et la candidature de Paris pour les Jeux Olympiques 2024.


3. Qu'est-ce qui vous inspire depuis 3 années successives ? Quelle est votre méthode de travail sur l'Open ?

Disons que, ma méthode est toujours la même. Je réfléchis à comment traiter le sujet. Je fais toujours une douzaine d'esquisses avec des concepts différents. C'est compliqué à formuler. C'est compliqué à imaginer. Ce sont des idées totalement différentes sur un même sujet.

En ce qui concerne l'Open, c'est la configuration du lieu et la montée en puissance du projet qui m'inspirent. La 3ème année est décisive. Pendant deux ans, on s'apprivoise avec le commanditaire. La 3ème année est déterminante, on passe un cap. La 3ème édition est importante car je prends possession du sujet ! La communication d'un événement s'affirme sur la durée. A partir de 3, une série commence !

 

4. Comment avez-vous appréhendé ce nouveau défi ?

C'est particulier. La difficulté pour le squash réside dans le fait que les symboles de ce sport sont peu nombreux. Ils sont au nombre de 3 : la balle, la raquette, le court. Je dois utiliser ces symboles caractéristiques, dans des circonstances différentes. Prenons une course de bateaux, tout le matériel marin est utilisable. Mais pour le squash, la matière est plus réduite. Il faut donc mettre un des 3 symboles dans un contexte autre. Il faut une méthodologie de travail très abouti pour trouver des points d'ancrages différents à chaque fois, sinon on se répète.


5. Qu'est-ce qui fait une grande affiche ? Pouvez-vous nous expliquer vos choix graphiques ?

C'est difficile. Une bonne affiche, c'est une affiche qui répond le mieux possible à la question posée. Comment assembler des éléments graphiques qui vont plaire au plus grand nombre ? Il faut que tout le monde comprenne immédiatement l'affiche, que tout le monde la retienne.


6. Est-ce qu’une affiche peut (encore) déterminer le sort d’un événement ?

Est-ce que le succès d'un événement est lié à l'affiche ? Ce serait très présomptueux. Par contre, je suis certain qu'une "mauvaise" affiche peut porter tort au propos. Une bonne programmation et une bonne communication doivent fusionner. Quand il y a une concordance, cela fonctionne. Les gens comprennent l'intérêt de l'affiche. Un directeur de théâtre m'a récemment dit : "une pièce de théâtre n'existe qu'à partir du moment où l'affiche est créée". Je trouve que c'est très intéressant. Comme si le visuel donnait vie.

L'affiche 2017 de l'Open est très populaire, très plastique sur le plan esthétique. Comme symbole graphique, l'animal est formidable, il y a une forme d'empathie par rapport à un animal, plus que pour une raquette de squash !

+

PSA Open International de Squash de Nantes - 3ème édition Publié le mercredi 17 mai 2017

C'est officiel, L'Association Nantes Squash Sautron organisera du 6 au 10 Septembre 2016, aux Nefs à Nantes et à La Maison du Squash à Sautron, la 3ème édition de son PSA : Compétition internationale réunissant les meilleurs joueurs et joueuses de squash de la planète !


Avec une dotation de 25 000 $ pour les hommes et 15 000 $ pour les femmes, cette compétition accueillera des joueurs et joueuses classés entre la 15è et la 100è place mondiale en provenance des 5 continents. Avec un tableau de qualification suivi d'un tableau principal, la compétition réunira au total 56 joueurs et joueuses : un total de 54 matchs de qualité internationale seront joués.

Un court entièrement vitré, permettra d’assister à un véritable spectacle sportif pour près de 620 spectateurs répartis sur les 4 côtés du court.
Élu événement sportif 2015 en Loire Atlantique pour sa 1ère édition, l'Open International de squash de Nantes se propose de conjuguer culture&sport, de mettre en scène le sport. Pour démocratiser, magnifier ce "petit sport" au sens propre comme au figuré sur la scène d'une salle culturelle nantaise renouvelée tous les ans : après le Lieu Unique et la Cité des Congrès, c'est au tour des Nefs.


Toutes les infos à venir sur notre page Facebook : www.facebook.com/opensquashnantes2017

+

News

Chaine Youtube Facebook