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5 questions à Hana Ramadan


Nous avons posé 5 questions à Hana Ramadan (EGY) - Tenante du titre de l'Open International de Squash de Nantes 2016 :


1. Hana, tu as gagné la toute première édition de l'Open International de Squash de Nantes. Tu va revenir à Nantes pour y défendre ton titre. Qu'as-tu pensé de l'atmosphère nantaise ?

Je suis tombée amoureux de Nantes. C'est une ville artistique et si belle. En plus de cela, le tournoi a été très bien organisé et a eu une forte audience. Je suis vraiment excitée de revenir et surtout de pouvoir rejouer sur le court vitré et tenter d'y défendre mon titre.

2. La dotation globale à augmentée pour passer à 15 000 $. Le tableau sera plus relevé, tu ne seras sans doute pas parmi les grandes favorites ? Quel sera ton objectif cette année

C'est formidable de voir que la dotation a augmenté. Cela montre que le squash devient de plus en plus grand. Jouer dans un tableau plus relevé sera clairement plus difficile, mais j'adore les défis et je travaille beaucoup pour préparer ce tournoi. J'aimerais défendre mon titre, mais je prendrai chaque match l'un après l'autre et je me concentrerai sur le jeu autant que possible.


3. De nos jours, l’Égypte domine le squash de plus en plus. Qu'est ce qui fait que vous êtes si fort ? Qu'y a-t-il de différent en Égypte pour former de jeunes joueurs tels que toi au si haut niveau ?

J'ai l'impression que, très jeune, les Egyptiens sont exposés au squash de très haut niveau. Avoir tant de grands joueurs talentueux à notre disposition, dans nos clubs prêts à nous aider, cela permet réellement de former des joueurs vraiment forts.

 

4. Passes-tu tout ton temps à ta carrière de professionnelle dans le squash ? Ou est-ce que tu fais autre chose en dehors (étude, travail ...) ?

Bien que le squash soit pour moi l'élément principal, j'étudie également la physiothérapie à l'Université de Nottingham. Je suis passionnée de cela et j'aimerais devenir physiothérapeute après l'université en même temps que je joue sur le circuit PSA. Le temps que je termine ma formation, je ne peux pas faire du squash et m'entraîner de manière professionnelle à plein temps mais j'ai néanmoins la capacité de m'entraîner avec autant de qualité qu'une professionnelle à temps plein. Il s'agit de trouver l'équilibre parfait.


5. Au delà de ton passage à Nantes, quels sont tes objectifs saison sur le circuit ? Et sur le long terme ?

Je vise le top 20 du mondial, mais mon entraîneur me dit que je peux viser plus haut. Il est important pour moi de prendre un tournoi à la fois, et un très bon résultat à Nantes pourrait être un formidable tremplin pour mon classement.


Publié le mardi 27 juin 2017

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